Une fois n'est pas coutume, voici une liste de livres que je n'ai pas aimés... autant vous économisez quelques heures de lecture qui pourraient être mieux employées !
La raison est la même pour toutes : des scènes grivoises, voyeuristes, très suggestives voire carrément descriptives.... et bien sûr qui n'apportent rien à l'histoire !
L'amour et la sexualité sont bien trop beaux pour être ainsi galvaudés et étalés.
Je partage entièrement son avis, un roman n'a pas besoin de ça pour être passionnant !
Cela dit, voici plus en détail les auteurs peu recommandables voire à éviter. (liste sans ordre de préférence ni alphabétique.. juste les hasards de ma mémoire !)
Will Adams, et ses enquêtes de l'archéologue Daniel Knox : de la violence, des scènes descriptives... et de toutes façons, les intrigues sont très pauvres, donc aucun regret !
Hugues de Queyssac, la saga historique du "Chevalier noire et la dame Blanche" : plusieurs scènes très descriptives... et de même, l'intrigue est assez pauvre (quatre tomes en plus !). Dommage, le cadre historique est intéressant et bien posé.
Elizabeth Lovell : à fuir absolument, je me suis arrêtée au chapitre deux !!
Catherine Hermary-Vieille, La Bourbonnnaise : une biographie très romancée de Madame Du Barry. Le personne n'est pas un modèle de vertu, mais certaines scènes n'étaient pas pour autant indispensables ! Ça ne m'a pas donné envie de lire d'autres livres de cet auteur, au contraire.
John Jakes, Nord et Sud : plusieurs passages très suggestifs... et quelques longueurs... Mieux vaut lire Autant en emporte le vent :-)
John Jakes, Nord et Sud : plusieurs passages très suggestifs... et quelques longueurs... Mieux vaut lire Autant en emporte le vent :-)
Avis mitigé... à vous de voir :
Fiona Buckley, les enquêtes de Dame Ursula Blanchard : avis mitigé... j'ai lu 4 livres de la série, je me souviens de deux courtes scènes descriptives... mais les enquêtes sont intéressantes, le cadre historique également, donc je suis passée outre.
Danila Comastri Montanari, Les enquêtes du Sénateur Publius Aurélius, dont je vous avais déjà parlées.
A suivre, je complèterai à fur et à mesure (en espérant ne pas y revenir trop souvent !)